Bonne nouvelle pour le corps médical et celui de l’enseignement!
Leurs status particuliers, respectifs tant attendus, viennent d’être approuvés ce dimanche 22 décembre 2024 en Conseil des ministres, présidé par le chef de l’Etat, Abdelmadjid Tebboune.
Ainsi et selon un communiqué publié par la Présidence de la République, il est indiqué que le président Tebboune, a approuvé ces textesde loi, lequels vont régir et règlementer et surtout offrir de meilleurs conditions de travail au corps médical et paramédical, au même titre que ceux de l’éducation nationale.
Engagements tenus !
En effet et d’après la même source, le président Tebboune, a jugé « satisfaisantes » les dispositions contenues dans ce statut, sans toutefois, dévoiler les grandes lignes. Néanmoins, le document du Palais d’El-Mouradia, souligne que l’adoption de ce statut particulier, signifie qu’il est à la « hauteur » des attentes de la corporation médicale et paramédicale et surtout qu’il respecte les engagements pris par le chef de l’Etat concernant le rôle « très important », voire cruciale qu’a joué le corps médical, durant la crise du Covid-19. Ce statut particulier, englobe selon la même source, le personnel médical et paramédical, qui comprend les médecins spécialistes, les médecins généralistes, les chirurgiens-dentistes, les pharmaciens, les paramédicaux, les sages-femmes, les anesthésistes, les biologistes, les psychologues, les professeurs d’éducation paramédicale et les physiciens.
Au sujet du statut particulier du corps enseignant, le Président de la République a félicité la famille de «l’éducation nationale» à l’occasion de l’achèvement de la rédaction de cette loi attendue, conformément à son engagement en la matière. La même source, souligne que ce statut vise à préserver le corps enseignant, car il est «l’âme de la société». En outre, le chef de l’Etat, a ordonné au gouvernement d’approuver des procédures supplémentaires, y compris le départ à la retraite des enseignants, qui tiennent compte de la spécificité de cette noble profession et des difficultés de son exercice, à condition que ces procédures soient détaillées par un décret exécutif.