Par R.B
L’Académie Algérienne des Sciences et Technologies, organise depuis, hier, mardi 26 novembre 2024, au niveau Centre international de conférences Abdellatif Rahal à Alger, la réunion Annuelle des Académies Africaines des Sciences (AMASA 2024).
Cet événement scientifique de haute facture est soutenu par le Groupe Telecom Algérie (TA), lequel regroupe diverses filiales, telles que Algérie Télécom, Algérie Télécom Satellite, Algérie Télécom Europe, etc.
Un engagement indéfectible
En effet et dans un communiqué rendu public, le Groupe TA, indique « soutenir activement », la réunion Annuelle des académies Africaines des Sciences. Cet événement marquant, est une rencontre scientifique de premier ordre, réunissant un groupe d’élite d’universitaires et d’experts africains pour discuter de questions cruciales liées à l’innovation et à la coopération dans les domaines de la science et de la technologie, au service du développement durable du continent africain.
Dans ce sillage, le « soutien » du Groupe Telecom Algérie, reflète l’engagement de ce dernier, ferme consolider et fructifier les initiatives scientifiques, lesquelles renforcent la position de l’Algérie en tant que leader de la connaissance et de l’innovation en Afrique
Le génie africain en marche !
Par ailleurs, cette manifestation scientifique continentale, sera l’occasion d’échanger autour du développement de la science et de ses applications dans les domaines sociaux, économiques et industriels en Afrique.
De plus, une attention particulière sera accordée aux défis rencontrés lors de l’application de la science dans divers aspects des sociétés africaines pour un développement harmonieux et durable. Toutes les sessions de la conférence s’efforceront de permettre aux délégués et aux experts de participer en faisant des présentations thématiques et en participant à des panels en séance plénière.
Pour sa part, le président du réseau des Académies africaines des sciences, M. Mahouton Norbert Hounkonnou, a relevé que « l’Afrique est riche en ressources, mais son potentiel reste inexploité et sans un cadre solide en science et technologie ».
Il a ainsi exhorté les participants à cette réunion à saisir l’occasion pour réaffirmer l’engagement commun envers une Afrique scientifiquement autonome, où les ressources sont utilisées de manière durable, les catastrophes sont affrontées avec résilience, et le vaste potentiel de son peuple est pleinement exploité.