Conférence internationale sur les matériaux et la mécanique: L’Université de Boumerdès abrite l’événement

Par R.B

Après le succès de la 2ème Conférence internationale sur la Bioinformatique, organisée le 13 et 14 du mois en cours, l’Université M’Hamed Bougara de Boumerdès, reste fidèle à sa tradition de «pôle scientifique», en initiant la 3ème édition de la Conférence Internationale sur les matériaux et la mécanique.

Ainsi, cet événement lequel est consid⁹éré comme étant incontournable pour les scientifiques et chercheurs spécialisés dans le secteur du génie civil et mécanique, se déroulera du 20 au 21 novembre 2024, au niveau de la salle de conférence de la Faculté de la technologie.

Un rendez-vous incontournable

En effet, ette manifestation a marquée par la participation d’une kyrielle de  chercheurs issus des diverses universités du pays, ainsi que des scientifiques de renommée internationale. L’objectif de la conférence est, selon les organisateurs, vise à renforcer le rôle de l’université dans le développement économique à travers l’établissement de passerelles entre les instituts de recherche et les entreprises, et ce, dans le cadre de la nouvelle vision des pouvoirs publics pour promouvoir la culture de l’entreprenariat et la création de start-up.

Plusieurs spécialités abordées

Ainsi et d’après le communiqué de presse, lors de cet événement, plusieurs thématiques seront abordées, telles que la science des matériaux et composites, la construction et fabrication mécanique, les vibrations, la dynamique, maintenance et tribologie, mais aussi l’énergie et énergies renouvelables, hydrogène vert et recyclage, génie civil et génie des procédés, etc.

À titre indicatif, cette conférence coïncide avec la semaine mondiale de l’entrepreneuriat( du 18 au 24 novembre). À ce propos et lors de son allocution lu en son nom, par le ministre des startups, M.Yacine Oualid, le chef de l’Etat, a mis en avant les résultats encourageants obtenus jusqu’à présent, tels que la création de plus de 2000 entreprises jeunes issues du programme des entreprises émergentes, un dispositif qui a permis à 8000 entreprises d’enregistrer leur création. En parallèle, l’État a mis en place des mesures concrètes pour soutenir les entreprises naissantes, notamment à travers la création du premier fonds public dédié aux start-ups, une initiative inédite en Afrique.

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