La montée en flèche des prix des ovins à l’approche de la fête de l’Aïd El-Kebir, serait due selon le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Mohamed Abdelhafidh Henni, aux intermédiaires et les vendeurs « occasionnels » et non pas par les éleveurs. Ainsi pour le ministre qui s’est exprimé ce jeudi à l’Assemblée populaire nationale ( APN), la tendance haussière des prix des moutons trouve son origine dans le fait que « des commerçants occasionnels spéculent sur les prix des ovins », dénonce-t-il. Affirmant au passage que l’Algérienne des viandes rouge ( Alviar), propose des moutons de l’Aïd à partir de 40.000 DA. Pour ce qui est des terres agricoles relevant du domaine privé de l’Etat et leur promotion et protection, M. Henni, a souligné devant la représentation populaire que ce dossier « a connu une importante dynamique et une valorisation notable ces dernières années », grâce, notamment à la relance du partenariat au niveau de ces terres. Aussi, le ministre de l’Agriculture, indiquera « l’affluence des investisseurs, et les détenteurs de moyens scientifiques et financiers vers la conclusion de partenariat avec les titulaires des contrats de concession agricole ».
R.B
