Les soutiens à l’initiative algérienne de traduire l’entité sioniste devant les juridictions internationales, notamment Cour pénale internationale ( CPI), pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité, se multiplient.
En effet, après après la Colombie, c’est autour de l’ancien président Bolivien, Evo Morales d’exhorter l’actuel président de la Bolivie de suivre la voie de l’Algérie.
Ainsi et dans post publié un sur X ( anciennement tweeter), l’ex-président Bolivien, a appelé les dirigeants de son pays à emboîter le pas de l’Algérie.
« Nous exigeons que le gouvernement bolivien rejoigne l’appel de l’Algérie. C’est notre devoir moral envers le peuple palestinien et envers l’humanité », a-t-il exhorté.
Un appel qui a de fortes chances d’aboutir, notamment au vue de l’aura de l’ancien chef d’Etat bolivien, qui est l’un des fer de lance de l’anti-impérialisme, mais aussi, la récente rupture des relations diplomatique entre la Bolivie et l’entité sioniste.
En effet, le 31 octobre dernier, les autorités boliviennes avaient rompu leurs relations diplomatiques avec Israël, accusent l’Etat hébreu de commettre des crimes contre l’humanité avec ses attaques dans la bande de Gaza.
Pour rappel, le 6 novembre dernier, le président Abdelmadjid Tebboune, avait appelé « les hommes libres du monde » à ester l’entité sioniste devant la CPI.
« J’appelle tous les hommes libres de ce monde, les juristes arabes et les organisations des droits de l’homme pour déposer une plainte contre l’entité israélienne devant la Cour pénale internationale et les organisations internationales des droits de l’homme », a-t-il exhorté.
R.B
