L’Algérie a été élue, aujourd’hui à New York, au poste de membre non-permanent du Conseil de Sécurité de l’Organisation des Nations Unies (ONU), pour la période allant de 2024 à 2025.
De son histoire, l’Algérie avait déjà siégé au Conseil de Sécurité à trois reprises, de 1968 à 1969, de 1988 à 1989 et enfin de 2004 à 2005. Le siège de membre non-permanent donne, entre autres, un accès à de nombreuses responsabilités et une participation dans les débats et les prises de décision pour le maintien de la paix et de la sécurité dans le monde. De son côté la Présidence de la République, s’est félicité via un communiqué rendu public de cette élection, indiquant que cette dernière « traduit l’estime et la considération » dont jouit le chef de l’Etat auprès de la communauté internationale et la « reconnaissance » pour sa « contribution en faveur de la paix et de la sécurité internationales ». Toujours d’après le document du Palais d’El-Mouradia, ce « succès diplomatique » atteste bien du retour de « l’Algérie nouvelle sur la scène internationale et entérine la vision et approche du président de la République pour la préservation de la paix et la sécurité dans le monde, fondées sur la coexistence pacifique, le règlement pacifique des différends et la non-ingérence dans les affaires intérieures des pays dans le cadre d’une politique étrangère qui puise ses principes, ses valeurs et ses idéaux de notre guerre libératrice », conclut le communiqué de la Présidence.