Après les allemands, anglais et les italiens, voici que les entreprises belges s’intéressent à l’hydrogène vert algérien.
En effet, l’Algérie est promise à un bel avenir en la matière, notamment avec les dernières directives du Président Tebboune, qui a instruit les services concernés de plancher sur une » stratégie globale », afin d’investir en masse dans cette énergie.
Ainsi, ce dimanche 3 décembre, Frank Pascalini, le PDG du complexe belge « John Cockerill », l’un des leaders mondiaux dans l’ingénierie et la maintenance dans le domaine énergétique, a été reçu par son homologue du groupe Sonelgaz, Mourad Laâdjel.
En effet et selon un communiqué dudit groupe public, les deux parties ont échangé autour des opportunités de coopération bilatérale entre les deux compagnies et plus particulièrement, du stockage et du développement de l’hydrogène vert.
Selon la même source, M. Pascalini, a exprimé « la volonté de son entreprise de coopérer avec le complexe Sonelgaz, passant en revue la gamme de services et d’activités qui pourraient faire l’objet d’un partenariat entre les deux parties, notamment dans le domaine de l’ingénierie, de la maintenance, du stockage et du développement de l’hydrogène vert », est-il mentionné dans le document de Sonelgaz.
Pour sa part, M. Laâdjel, s’est félicité de la coopération avec le groupe belge, soulignant que Sonelgaz « cherche toujours à renforcer ses partenariats étrangers selon le principe gagnant-gagnant ».
À l’issue de cetteentrevue, les deux parties ont convenu de « la nécessité » de tenir une série de réunions qui permettraient d’avoir une « vision plus claire » des différents services proposés par le complexe belge.
R.B