Le sélectionneur de l’équipe nationale d’Algérie, Vladimir Petkovic, montre la voie avant l’entrée en lice face au Soudan à la CAN 2025.
À la veille de l’entrée en lice de l’Algérie à la CAN 2025, Vladimir Petkovic affiche un discours à la fois serein et déterminé, fidèle à la ligne qu’il a tracée depuis sa prise de fonctions.
Ainsi, le sélectionneur assure que le groupe aborde ce rendez-vous dans de bonnes conditions, malgré l’absence d’Houssem Aouar. « Je pense que nous sommes contents de tout ce que nous avons fait. L’équipe va bien et, par chance, nous avons récupéré tous les joueurs, mis à part Aouar. L’équipe travaille bien et je suis sûr qu’elle va bien commencer », a-t-il expliqué.
Exorciser les traumatismes du passé
En effet et sans détour, le technicien helvétique a insisté sur la nécessité de tourner la page des désillusions récentes. « Le passé, on n’y pense pas. On travaille aujourd’hui pour demain. On veut aborder cette aventure avec confiance », a-t-il martelé, précisant attendre « le dernier entraînement pour connaître le onze rentrant ».
Conscient de l’importance du rendez-vous face au Soudan, Petkovic n’en minimise pas l’enjeu : « Le premier match est toujours difficile. Il faut gagner pour la confiance. Je crois que nous arrivons au bon moment pour changer des choses. »
Le Soudan «minutieusement» étudié
« Nous avons analysé leurs neuf derniers matchs », a-t-il confié, rappelant que le Soudan enchaîne les compétitions. Pour autant, la pression ne semble pas perturber le sélectionneur. « Elle est normale, mais nous sommes tranquilles », affirme-t-il, avant de conclure avec fermeté : « Les échecs récents sont derrière nous. Demain est une opportunité pour changer les choses. Nous sommes concentrés sur le futur. », a-t-il conclu.
