Outre le projet du gazoduc transsaharien (TSGP) qui devrait relier Lagos à Alger, l’Algérie et le Nigeria, tendent à renforcer leur coopération énergétique, notamment en matière d’énergies renouvelables, un secteur où l’Algérie possède un potentiel non-négligeable.
Ainsi, les deux pays qui n’ont jamais caché leur proximité aussi bien politique qu’économique sont en quête de nouvelles opportunités d’investissement, surtout que le Nigéria s’est tracée comme objectif d’atteindre 20% de sa consommation énergétique via les énergies renouvelables.
C’est dans cette optique que le ministre de l’énergie et des énergies renouvelables, M.Mourad Adjal, a reçu ce dimanche 20 octobre 2025, une délégation parlementaire du Nigéria, conduite par le président de la Chambre des représentants, M. Taj Al-Ain Abbas.
L’Algérie est un « partenaire fiable »
En effet et selon le document du département de M.Adjel, l’hôte de l’Algérie, salué les efforts du pays afin de soutenir le développement énergétique en Afrique, en particulier dans les domaines des énergies renouvelables et de l’hydrogène vert, notant que l’objectif principal de cette visite est d’«explorer» et de «discuter» des opportunités de coopération entre les deux nations, ainsi que d’échanger des expériences entre les deux pays dans le domaine du développement des énergies propres.
Pour sa part, Mourad Adjal, a évoqué les progrès réalisés par l’Algérie dans le domaine du service public dans le secteur de l’énergie, parallèlement à son importante activité dans les exportations d’énergie et son implication dans les industries de l’électricité et du gaz, en plus de son «expertise significative» dans les domaines de la formation, de l’ingénierie et des capacités énergétiques.
De plus, le ministre de l’énergie et des énergies renouvelables, soutiendra le fait que l’Algérie esr «un partenaire fiable», appelant dans ce sens, à la nécessité de renforcer et d’élargir le niveau de coopération avec le Nigeria et de soutenir son développement économique et énergétique.