Le président de l’Association nationale des commerçants et artisans (ANCA), Hadj Tahar Boulenoir, a déclaré samedi 14 octobre que la mise en place des instruments de paiement électronique « garantit les droits des commerçants et des citoyens ».
En effet, et pour le président de l’ANCA « tout agent économique devra mettre à la disposition du consommateur des instruments de paiement électronique, pour lui permettre, à sa demande, de régler le montant de ses achats à travers son compte bancaire ou postal dûment domicilié au niveau d’une banque agréée ou Algérie poste », est-il souligné dans la loi de finances complémentaire pour l’année 2022, publiée au Journal officiel n 53.
Dans son intervention, le président de l’ANCA a indiqué que la généralisation du paiement électronique sera effective au plus tard le 31 décembre 2023.
Animant une conférence de presse sur les procédures d’importation, les prix des denrées alimentaires et les préparatifs pour la généralisation du paiement électronique, Hadj Tahar Boulnoir, a estimé que les procédures de mise en application de la numérisation dans les transactions économiques sont une « nécessité inévitable », affirmant que « le développement économique ne peut se réaliser en dehors de la numérisation ».
Le même texte précise que « les agents économiques doivent se conformer aux dispositions du présent article, au plus tard, le 31 décembre 2023 ».
R.B

