Agression sioniste sur Gaza : l’Algérie exhorte la Communauté internationale à intervenir en urgence

Agression sioniste sur Gaza : l’Algérie exhorte la Communauté internationale à intervenir en urgence

Fidèle à ses positions immuables, l’Algérie a appelé ce mardi 17 octobre la communauté internationale  à “une intervenir immédiatement » pour venir en aide au peuple palestinien de Gaza contre “l’agression” dont elle fait l’objet de la part de l’armée sioniste.

En effet et c’est lors du discours d’ouverture de la vingtième session de la réunion des ministres des Affaires étrangères de l’Afrique et de l’Europe du Nord à Alger que le ministre algérien des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, a exhorté la communauté internationale à « protéger immédiatement les opprimés et les persécutés en Palestine », à mettre un terme à l’agression sioniste.

Ainsi, le chef de la diplomatie algérienne a affirmé que «  Gaza subit un siège et des bombardements au vu et au su de tous, sans le moindre respect pour les règles humanitaires les plus élémentaires, les normes et les lois internationales »

Le retour aux frontières de 1967 comme seule solution

Il a souligné que « l’Algérie appelle à éviter de nier les faits irréfutables présentés à la communauté internationale”, à savoir « l’occupation israélienne de la Palestine » et « la préservation des droits légitimes des Palestiniens ».

Hier, et lors de la réunion du Haut conseil de sécurité, présidée par le président de la République, il a été fait état dans un communiqué de la Présidence, que l’Algérie « réaffirme son entière solidarité avec le peuple palestinien ».

En outre, le chef de l’Etat, a encore une fois souligné que la résolution de la question palestinienne, passe « irrémédiablement » par la création d’un Etat palestinien dans ses frontières de 1967.

« L’Algérie réaffirme son rejet de ces opérations menées contre des civils sans défense, et sa pleine solidarité avec le peuple palestinien frère, convaincue en cela que la solution radicale, est-il souligné, ne réside pas en les génocides, ni en les déplacements massifs, mais plutôt en l’établissement de l’Etat de Palestine avec Al-Qods pour capitale, sur les frontières de juin 1967 », précise le communiqué.

R.B

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