L’Armée de l’occupation israélienne, a fait un véritable carnage à Gaza.
En effet et selon Al-Jazeera, laquelle a répercuté le communiqué du ministère de la Santé palestinien publié ce mercredi 11 octobre, au moins 1000 martyrs ont été lâchement assassinés et 5000 blessés dans l’enclave palestinienne de Gaza, lors des « représailles » sionistes.
Par ailleurs, les équipes de médecins sans frontières ( MSF), qui travaillent en Palestine de manière permanente, peinent à organiser des soins dans ce contexte d’insécurité extrême.
Léo Cans, chef de mission MSF basé à Jérusalem, fait le point sur la situation et considère que la déclaration de guerre ne doit, en aucun cas, amener à une punition collective de la population sur Gaza.
« L’intensité des bombardements est choquante, ainsi que le nombre de morts déjà dénombré. La déclaration de guerre ne doit, en aucun cas, amener à une punition collective de la population sur Gaza. Le fait de couper l’eau, l’électricité, l’approvisionnement en essence est inacceptable, car cela condamne toute la population et les coupe de tous leurs besoins primaires », a déploré MSF dans son rapport publié, hier, 10 octobre sur son site internet.
R.B/Agences