La secte des séparatistes du MAK et leur « gourou », le sinistre Ferhat M’henni, vient de recevoir un terrible coup de boutoir. L’Algérie et ses institutions n’y sont pour rien et pour cause, c’est le propre fils de Ferhat, Aghour M’henni qui vient de « tuer » politiquement son sinistre géniteur.
Ainsi, s’exprimant sur les ondes d’une télévision privée, Aghour refuse toute assimilation entre lui, sa famille et les orientations politiques de son paternel. Sans ambages, ni la moindre ambiguïté, Aghour M’henni se démarque de la folie de son père et le renie publiquement.
« il a ses idées, j’ai les miennes »
En effet et dans un discours aussi limpide que convainquant, le fils de Ferhat M’henni, désavoue ce dernier et se dissocie de sa lubie séparatiste. Il invoque et évoque l’honneur familial que son sinistre père a souillé par ses actes et sa trahison manifeste envers son pays et ses désormais ex-compatriotes. « mon père c’est mon père, mais je ne suis pas dans sa tête, et il n’est pas dans la mienne, donc il a ses idées et moi j’ai les miennes », soulignera Aghour. Et d’enchaîner « Tout au long de ma vie, j’ai subi ses idées, j’ai subi ses décisions, qui ont toujours eu des impacts sur ma vie, sur mes frères, sur mes sœurs. Et aujourd’hui, je sens que moi aussi j’ai besoin de prendre l’indépendance, l’indépendance de mes idées, j’ai besoin de l’exprimer, et j’ai besoin de ne pas être associé à tout ce qu’il fait », a-t-il dénoncé.
L’Algérie dans le sang !
Au-delà de la sphère familiale, Aghour M’henni inscrit sa déclaration dans un registre plus large, celui de l’unité nationale. Installé à l’étranger, il raconte avoir grandi au sein de la diaspora algérienne, au contact de compatriotes venus de toutes les régions du pays, sans jamais ressentir de clivages identitaires ou régionaux. À travers cette prise de parole, Aghour M’henni a souhaité adresser un message clair : celui d’un citoyen attaché au vivre-ensemble, à l’unité nationale et au respect de l’histoire collective de l’Algérie, tout en affirmant son droit à des convictions personnelles, indépendantes de celles de son père.

