L’ancien sélectionneur national Djamel Belmadi, qui s’érigait en chantre du «nationalisme» et du «patriotisme» sportif, dévoile de plus en plus son véritable véritable visage. Celui d’un coach avide d’argent, n’hésitant pas une seule seconde à traîner son propre pays devant les tribunaux pour quelques sous.
Ainsi, Belmadi qui vient de retrouver le banc, en s’engageant avec Al-Duhail du Qatar, ne compte pas lâcher son affaire avec la FAF et le président Walid Sadi. Quand il s’agit de billets verts, la posture de l’entraîneur «venu pour le pays» vole en éclat et laisse place à une imposture aussi flagrante qu’édifiante.
Avarice quand tu nous tiens…
En effet, Djamel Belmadi veut l’intégralité de son argent jusqu’au dernier centime et à la fin de son contrat en 2026, tandis que Sadi lui a proposé 3 mois de salaire, contre une séparation à l’amiable. Mais apparemment, Djamel Belmadi qui est resté loin des radars en préférant prendre du recule et garder le silence, est sorti de son mutisme pour réclamer 17 mois de salaire (ce qui reste dans son contrat) et l’équivalent de 3,4 millions d’euros.
Alors que le président de la FAF, Walid Sadi lui a suggéré une indemnité de départ qui s’élève à 612.000 euros, soit 3 mensualités. Ce bras de fer risque d’emmener Belmadi et la FAF vers les tribunaux, pour le régler. Affaire à suivre…