L’Algérie vise à être un acteur énergétique incontournable à l’échelle régionale et continentale.
D’ailleurs, les multiples accords passés durant l’année 2025, avec nombre de pays africain, notamment ceux de l’Afrique de l’Ouest, attestent de cette volonté affichée et affirmée.
Ainsi et dans cette optique, le ministre de l’Énergie et des Énergies renouvelables, M. Mourad Adjel, a reçu ce mercredi 31 décembre 2025, le directeur exécutif de la Commission africaine de l’énergie (AFREC), M. Rachid Ali Abdallah, un organisme relevant de l’Union africaine (UA).
L’Algérie expose ses atouts
En effet et selon le département de M.Adjal, ce dernier, a souligné l’intérêt particulier que porte son département au renforcement de la coopération avec l’AFREC. Il a notamment mis en avant l’importance des thématiques liées à la maîtrise de l’énergie, considérée comme une «priorité nationale» et un pilier essentiel du programme de sécurité énergétique de l’Algérie.
En outre, le ministre a insisté sur les enjeux liés à la transition énergétique, en particulier le développement de l’hydrogène vert, de l’énergie solaire et de l’efficacité énergétique, des domaines dans lesquels l’Algérie ambitionne de consolider son positionnement régional et continental.
2026 : Une année charnière
Par ailleurs, le ministre de l’Énergie réaffirmé l’entière disponibilité de son département à collaborer étroitement avec la Commission africaine de l’énergie, afin de tirer profit de son expertise reconnue pour l’accompagnement et le soutien de plusieurs projets énergétiques inscrits dans le plan d’action sectoriel.
De son côté, M. Rachid Ali Abdallah a exprimé la pleine disposition de l’AFREC à coopérer avec la partie algérienne, notamment à travers le transfert d’expertise et l’appui technique dans le développement de programmes énergétiques structurants au bénéfice de l’Algérie.
En conclusion, le ministre a annoncé la tenue prochaine d’une réunion de travail dédiée à l’évaluation de l’état de la coopération entre les deux parties, ainsi qu’à l’identification des axes de collaboration futurs, conformément à une feuille de route stratégique pour l’année 2026.


