L’Algérie est plus que jamais déterminée à développer son potentiel en terme d’énergies renouvelables, et ce, en s’appuyant sur l’expertise de ses « cerveaux » expatriés.
Parmi ces derniers, le professeur Karim Zaghib, reconnu internationalement pour son expertise en stockage d’énergie et en développement de batteries, notamment au lithium-fer-phosphate.
Ainsi, ce mercredi 20 août 2025, le professeur Zaghib, a été reçu par le ministre de l’Enseignement supérieur et la Recherche scientifique, M. Kamel Baddari, afin de mettre en place un partenariat entre cet éminent chercher et l’université algérienne, notamment dans le segment des batteries au lithium.
Un «noyau» de Recherche et Développement créé
En effet et selon le communiqué du ministère de l’Enseignement supérieur, lors de cette rencontre, il a été convenu de la création d’un « noyau » dédié à la recherche et développement au profit des ingénieurs et chercheurs dans le secteur des énergies renouvelables et la transition énergétique. Aussi, le département de Kamel Baddari, a annoncé la mise en place d’une « université d’été » spécialement dédiée à la technologie des batteries au lithium et enfin, le lancement de cursus dédiés aux énergies renouvelables et l’électricité chimique.
Le Pr Zaghib a souligné que l’Algérie, grâce à ses ressources minérales abondantes (lithium, phosphate, fer) et sa position géostratégique, dispose d’un potentiel considérable pour devenir un hub industriel dans le segment des énergies renouvelables.
