Les rumeurs et les « fake news » continuent de faire des ravages sur les réseaux sociaux. Il ne se passe pas une journée qu’une « nouvelle » aussi incongrue que surprenante ne fasse son apparition sur la Toile et se propage comme une trainée de poudre, grâce ou à cause de la puissance des réseaux.
Ainsi, la nouvelle victime de ces rumeurs, est ministère des Moudjahidine et à travers lui, l’ensemble de nos Glorieux Martyrs et leurs familles, puisque des personnes extrêmement malveillantes, ont fait circuler une rumeur aussi tendancieuse que dangereuse, à propos d’une prétendue « carte » dédiée aux petits-fils de nos chouhadas, qui leur accorderait certains privilèges. Bien évidemment, ce document n’a d’existence que dans les esprits malades de ceux qui l’ont purement et simplement inventés. Face à la gravité de la situation, le ministère des Moudjahidine est monté au créneau pour démentir de manière catégorie cette fausse information, tout en menaçant leurs auteurs de poursuites judiciaires.
La justice sera saisie
En effet, dans un communiqué rendu public, le département de Laïd Rebiga, s’est indigné face à ces rumeurs, pointant du doigt, sans toutefois les nommer, « certains cercles » du colonialisme. « Ces haineux ou ces égarés qui crachent leur venin sur notre Histoire sacrée et ses symboles dont les chouhada et les moudjahidine qui ont fait la fierté et la gloire de l’Algérie, visent à servir les agendas de la pensée coloniale française haineuse, dont les pages se sont fermées le 5 juillet 1962, avec les sacrifices des filles et des fils du peuple algérien », souligne le communiqué dudit ministère.
Ensuite, le ministère des Moudjahidine, s’est montré menaçant contre les auteurs de ces fakes-news, en soulignant le fait qu’il « n’hésitera pas à prendre toutes les mesures juridiques » nécessaires à l’encontre de ces personnes malintentionnées, qui sont qualifiées de « partisans de la tromperie et de la désinformation ». « Le ministère n’hésitera pas à prendre toutes les mesures juridiques contre tous ceux qui osent s’en prendre aux symboles de notre Histoire nationale conformément à la législation et à la réglementation en vigueur », est-il explicitement mentionné.