La Bolivie rompt ses relations avec l’entité sioniste

La Bolivie rompt ses relations avec l’entité sioniste

Le gouvernement bolivien a annoncé mardi qu’il rompait ses liens diplomatiques avec l’entité sioniste, rapporte l’agence Reuters.

En effet et d’après la même source, les autorités boliviennes accusent l’Etat hébreu de commettre des crimes contre l’humanité avec ses attaques dans la bande de Gaza.

La Bolivie avait déjà pris une mesure similaire en 2009, citant aussi à l’époque des attaques israéliennes contre l’enclave palestinienne, avant que le gouvernement de la présidente, Jeanine Anez restaure les relations diplomatiques avec l’entité sioniste en 2020.

De son côté, l’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens (UNRWA), a dénoncé ce mardi 31 octobre une « punition collective » imposée par l’entité sioniste au peuple palestinien. « Soyons clairs : la poignée de convois autorisés via Rafah n’est rien comparé aux besoins de plus de 2 millions de personnes piégées à Gaza », a lancé Philippe Lazzarini, appelant les membres du Conseil de sécurité à l’aide et réclamant un « cessez-le-feu humanitaire immédiat ».

Cependant, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou, n’est pas de cet avis et a exclu ce mardi tout cessez-le-feu dans la guerre dans la bande de Gaza, qui serait selon lui « une reddition face au Hamas ».

« Les appels à un cessez-le-feu sont des appels à Israël à se rendre face au Hamas. Cela ne se produira pas », a-t-il déclaré, lors d’une conférence de presse à Tel-Aviv, exhortant la communauté internationale à se joindre à son pays pour exiger la libération « immédiate et sans conditions » des otages retenus à Gaza.

R.B/Agences

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