Le président français, Emmanuel Macron, a appelé encore une fois, l’entité sioniste à « cesser immédiatement » son agression sur la bande de Ghaza, laquelle a fait depuis le 7 octobre dernier, plus de 11 000 martyrs, dont 6000 femmes et enfants.
En effet et dans un entretien accordé à la chaîne britannique BBC, le chef d’Etat français, s’est visiblement rendu à l’évidence, à savoir que dans cette sinistre agression, les premières victimes sont les civils.
« De facto, aujourd’hui, des civils sont bombardés. Ces bébés, ces dames, ces personnes âgées sont bombardés et tués. Il n’y a donc aucune raison et aucune légitimité à cela », a-t-il déclaré.
Macron dont « sa conférance » organisée hirer jeudi et dédiée à l’aide humanitaire à Ghaza, etait un cuisant échec, puisqu’il n’en est ressorti que des « vœux pieux », s’est résolu à « exhorter » l’armée d’occupation israélienne à « cesser en urgence » le massacre.
La « dérobade » du président français
« il n’y a pas d’autre solution qu’une pause humanitaire d’abord, en passant par un cessez-le-feu, qui permettra de protéger tous les civils n’ayant rien à voir avec les terroristes », a-t-il plaidé.
Néanmoins, le président français, acculé et visiblement sous pression imposée par le lobby sioniste très implanté en hexagone, n’a pas le courage de dénoncer de manière claire et limpide, les exactions et crimes commis par l’armée sioniste.
En effet, interrogé sur les innombrables violations du droit international par Israël, Emmanuel Macron, a botté en touche en soutenant qu’il n’était « pas un juge », mais « un chef d’Etat ».
Une dérobade qui renseigne on ne peut mieux sur le climat « pro sioniste » et de facto anti palestinien qui règne en France, un pays où la plupart des médias et autres partis politiques de droite et extrême droite sont détenus par « la communauté organisée ».
R.B