Auteur/autrice : Chiraz Kherri

L’infection par le virus de l’hépatite C (VHC) est l’une des principales causes d’hépatite C chronique, de cirrhose du foie et de cancer du foie (carcinome hépatocellulaire). En 2022, plus de1.3 millions personnes sont décédées des suites de maladies liées au virus dans le monde, sa prévalence en Algérie est modérée, mais il existe une variabilité géographique dans sa distribution, la willaya de Batna est endémique pour la pathologie. Un taux de réponse encourageant Les progrès médicaux récents ont permis de mettre à disposition un traitement révolutionnaire pour les patients atteints d’hépatite C, il s’agit d’antiviraux à action directe (AAD), qui…

Des chercheurs de l’Université d’Aarhus au Danemark ont développé une nouvelle méthode plus efficace qui permet de décomposer et de séparer les composants du polyuréthane en une seule étape pour une seconde réutilisation. Le polyuréthane (PUR) est un matériau plastique indispensable pour la fabrication de divers produits, des matelas, l’isolation des réfrigérateurs et des bâtiments, les chaussures, les voitures, les avions, les pales d’éoliennes, les câbles et bien plus encore. Cependant, il est aussi une charge pour l’environnement, car la plupart des produits en PUR jetés dans le monde finissent incinérés ou enfouis. Jusqu’au 82% de gain En effet, le…

Le virus «Mpox», anciennement appelé variole du singe (Monkey pox), connaît une recrudescence inquiétante en Afrique. Caractérisé par une éruption cutanée douloureuse et d’autres symptômes grippaux, ce virus est déclarée urgence de santé publique de portée internationale par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’épidémie s’accélère, notamment en République démocratique du Congo (RDC). Un virus en mutation L’épidémie initialement transmise par les rongeurs en Afrique est en grande partie due à l’arrêt de la vaccination contre la variole dans les années 1980. En effet, le vaccin contre la variole offrait une protection croisée contre le mpox. Or, les nouvelles générations, n’ayant pas bénéficié…

Le monde n’est pas au bout ses peines! Après la pandémie du Covid-19, le réchauffement climatique et ses affres, l’humanité devrait se préparer à faire face à une nouvelle pandémie, laquelle s’annonce «dévastatrice»! Ainsi, un éminent microbiologiste hongkongais, Yuen Kwok-yung, a lancé un avertissement alarmant : une nouvelle pandémie, potentiellement plus grave que celle du Covid-19, est «imminente». Une «Cassandre» des temps modernes S’appuyant sur son expérience lors de l’épidémie de SRAS en 2003 et sur ses recherches approfondies sur les maladies infectieuses émergentes, le scientifique prédit que les changements climatiques et géopolitiques actuels accroissent considérablement les risques d’émergence de…

C’est une découverte majeure dans la lutte contre le diabète que viennent de faire des chercheurs de City of Hope (Californie) et du Mount Sinai (New York).Ces scientifiques, sont en effet, parvenus à démontrer qu’un traitement combiné peut augmenter le nombre de cellules productrices d’insuline humaine in vivo. Cette avancée, publiée dans la revue Science Translational Medicine, ouvre la voie à de nouvelles thérapies régénératives prometteuses pour les millions de patients diabétiques dans le monde. Une pathologie réversible! En effet, l’étude, menée sur des modèles animaux, a montré qu’une combinaison d’harmine, un produit naturel présent dans certaines plantes, et d’un…

Une étude récente publiée dans une revue scientifique a démontré le potentiel des nanoparticules d’Altamira Therapeutics pour traiter avec succès les anévrismes de l’aorte abdominale (AAA), une condition grave qui affecte l’aorte, l’artère principale du corps. Ainsi, l’étude, menée sur des souris, a montré que l’administration d’ARNm SOD2, une enzyme qui combat les radicaux libres nocifs, à l’aide de la technologie SemaPhore d’Altamira a permis de réduire significativement la dilatation de l’aorte, de retarder la rupture et d’améliorer considérablement les taux de survie par rapport aux souris non traitées. Fonctionnement de la technologie SemaPhore Les nanoparticules SemaPhore d’Altamira agissent comme…

Le secteur de la santé publique en Algérie, a connu en ce début de semaine, une série de mutations et nominations, visant à insuffler une nouvelle dynamique. Ainsi, ces changements ayant touchés des hôpitaux publics et des institutions sanitaires, visent à renforcer les compétences et l’expertise au sein des différents services et établissements. En effet, le Professeur Mohamed Yacine Achouri a été nommé chef du service de pharmacie au CHU Nefissa Hamoud, anciennement Parnet. Qu⁸ant au service de médecine interne au CHU Lamine,Debaghine de Bab El Oued, a vu l’arrivée du Professeur Nazim Laraba. De son coté le Professeur Younes…

La maladie d’Alzheimer, est une dégénérescence évolutive du système nerveux, dont les symptômes de démence s’aggravent progressivement au fil des ans.Pour l’heure, aucun traitement n’est efficace à 100% contre cette pathologie, mais cette donne pourrait évoluer dans les jours avenir, notamment lors de la Conférence internationale 2024 de l’Alzheimer’s Association (AAIC). Ainsi et au cours de cette événement médical, lequel se tiendra du 28 juillet au 1er août 2024 à Philadelphie, en Pennsylvanie, aux États-Unis, BioArctic AB et son partenaire Eisai annoncent la présentation de «données cruciales» sur le Lecanemab (nom générique, nom commercial Leqembi®). Des résultats à long terme…

Le talc, ce produit qu’on saupoudre sur la postérieure des bébés afin de leur éviter des irritations, du moins dans son utilisation usuelle, s’avère être « potentiellement » cancérigène! C’est ce qu’indique la conclusion d’une étude menée par des experts du Centre international de recherche sur le cancer (CIRC/IARC), réunis à Lyon (France), publiée vendredi dernier dans la revue The Lancet Oncology. Pourquoi est-il dangereux ? En effet, le talc, ce minéral naturel présent dans de nombreux produits cosmétiques et poudres corporelles, a été classé comme « probablement cancérogène pour l’homme ». Cette nouvelle classification met en garde les consommateurs sur les risques potentiels…

Longtemps suspecté de provoquer des accouchements prématurés chez les parturientes, le vaccin de Pfizer contre le virus respiratoire syncytial (VRS), est désormais lavé de tous soupçons. Ainsi et selon une étude publiée lundi 8 juillet 2024, les naissances prématurées ou précoces ne sont par liées à la inoculation de ce vaccin, est-il mentionné. Pas de liens de causalité En effet, des chercheurs du Weill Cornell Medical College de New York ont mené une étude rétrospective sur des femmes enceintes de 24 à 36 semaines et n’ont pas trouvé de différence statistique significative entre le taux d’accouchement prématuré des femmes vaccinées…