Le ministre français de l’Intérieur, Bruno Retailleau, est décidément atteint d’une pathologie contre l’Algérie.
Non content de s’attaquer à notre pays, à travers des déclarations diffamatoires et provocatrices, le « sieur » Retailleau, décoche ses flèches venimeuses, contre, non pas ceux et celles qui soutiennent l’Algérie, mais qui soutiennent le « bon sens » et surtout le Droit !
Ainsi, la nouvelle victime du « venimeux » Retailleau, n’est autre que l’euro députée du parti de la France insoumise (LFI), Mme Rima Hassan. Qu’a-t-elle fait cette pauvre dame pour subir les foudres et surtout la haine du ministre de l’intérieur français ? Un meurtre ou un quelconque délit répréhensible par la loi ? Non, loi s’en faut. Elle a uniquement et simple voté contre l’ingérence du Parlement européen dans les affaires internes d’un pays souverain. Elle a dit « NON » à ce que ce Parlement impose son diktat à l’Algérie dans une affaire purement algéro-algérienne, à savoir le cas Boualem Sensal.
Retailleau crache son venin !
En effet, la députée Rima Hassan a ainsi voté contre, tandis que la cheffe de file du groupe de la France insoumise, Mmr Manon Aubry s’est abstenue. Ce vote aussi honteux que ridicule, a pour but de «faire pression» sur l’Algérie, -excusez le culot-, afin qu’elle libère son propre citoyen, ayant proféré de graves propos sur la souveraineté du territoire national.
Invité ce vendredi 24 janvier 2025 sur l’antenne d’Euope1 et CNews, l’inique Bruno Retailleau, n’a pas caché sa haine contre l’Algérie en premier lieu, mais aussi contre l’eurodéputée, allant jusqu’à la traiter de « suppôt » de l’Algérie. « C’est une alliée du régime algérien », s’est-il insurgé. « En tout cas, un soutien, un suppôt », a-t-il honteusement ajouté. « Cette résolution demandait la libération inconditionnelle d’un homme malade, et madame Hassan dit non. C’est politiquement scandaleux. Je demande à LFI de se justifier : est-ce que ce vote représente ce que leur parti veut porter au niveau européen ? », a-t-il vociféré. Toutes ces injures, ces insultes indignes d’un ministre de la République, démontrent, s’il le fallait encore, que Retailleau est pris d’une obsession maladive contre l’Algérie.
Le double jeu de Macron
Cependant, ce « sinistre » de l’intérieur, n’est pas à blâmer dans l’absolu, car il ne fait qu’eructer sa haine contre l’Algérie et ses propos nauséabondes n’engagent que son insignifiante personne. En revanche, c’est la France officielle, à travers son président, du mois ce qu’il en reste de ce titre, Emmanuel Macron, qui est au cœur de cette machine de la haine et de la surenchère. Macron, qui comme l’a si bien dénoncé, Dominique de Villepin, mène son pays dans un « cul-de-sac » et gouverne au « mépris des Français ». Le double jeu du président Macron est désormais clair. D’un côté, il charge la porte-parole du gouvernement, Mme Sophie Primas de véhiculer un message d’ « apaisement», en soulignant que «Personne n’a intérêt à une escalade entre la France et l’Algérie», et ajoutant «Nous devons ramener nos relations avec l’Algérie au même niveau qu’avec d’autres États». De l’autre, il ferme les yeux et « cautionne » de manière implicite les dérapages honteux et ignominieux de son ministre de l’intérieur. Enfin et pour reprendre les propos du président Abdelmadjid Tebboune, « L’Algérie, n’a besoin, en fait, que d’Allah et de ses enfants ».