La bande de Ghaza est devenu « un cimetière pour enfants » palestiniens, s’est indigné ce lundi 6 novembre, le Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres.
Ce dernier, a encore une fois réitéré son appel quasi inaudible à « un cessez-le-feu immédiat » entre l’occupation sioniste et la résistance palestinienne, tout avertissant que la bande de Ghaza, bombardée, est en train de se transformer en un « cimetière pour enfants ».
Ainsi et lors d’un point de presse organisé en marge des travaux du Conseil de sécurité réuni cette nuit à New-York, Guterres, a affirmé d’un ton grave que « La catastrophe en cours rend le cessez-le-feu pour des raisons humanitaires plus urgent à mesure que les heures passent », s’est-il alarmé.
En effet, le Secrétaire général de l’ONU, dont l’impuissance est désormais avérée, a souligné que « Les parties au conflit, ainsi que la communauté internationale, sont confrontées à une responsabilité immédiate et fondamentale, consistant à mettre fin à aux souffrances inhumaines et à élargir considérablement la portée de l’aide humanitaire à Ghaza. »
« Le cauchemar à Ghaza est bien plus qu’une simple crise humanitaire », a-t-il ajouté. « C’est une crise pour l’humanité ».
Au-delà de ces paroles et « vœux pieux », l’Orgnisation des Nations Unies, est soumise aux puissances occidentales, notamment les États-Unis. Rien ni personne ne peut stopper ce génocide sauf l’administration de Joe Bide. C’est un fait désormais.
R.B