Les combattants palestiniens et l’armée d’occupation sioniste sont arrivés à un accord, ce lundi 27 novembre, portant sur la » prolongation » de 48H, de la trêve en vigueur depuis vendredi dernier, rapportent plusieurs médias, dont l’agence l’AFP.
En effet, une source sécuritaire citée par ladite agence, a fait savoir que l’entité sioniste est soumise à « d’intenses pressions » de la part des États-Unis et aussi, certains membres de l’OTAN, afin de reconduire le cessez-le-feu humanitaire.
« Israël insiste pour renouveler la trêve jour après jour, alors que les pays médiateurs, à savoir le Qatar, États-Unis et Égypte, proposent une pause de plusieurs jours », précise ce responsable égyptien ayant requis l’anonymat.
Cette prolongation du cessez-le-feu, permettrait « de fournir davantage d’aide aux populations qui en ont grand besoin et d’obtenir la libération d’autres otages », a souligné le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg.
De son côté, le porte-parole du gouvernement sioniste, a affirmé ce lundi, avoir proposé au camp palestinien une « option », consistant en la prolongation de la trêve et « recevoir 50 otages supplémentaires ».
À titre indicatif, l’accord initial prévoyait l’instauration de quatre jours de trêve, l’entrée d’aide humanitaire à Ghaza depuis l’Égypte, ainsi que la libération de 50 otages israéliens et la libération de 150 prisonniers palestiniens détenus dans des prisons sioniste.
R.B/Agences