Cosmétiques : La facture d’importation réduite drastiquement ! 

La facture d’importation des produits cosmétiques a baissé de manière « drastique », et ce, grâce aux directives du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, qui n’a eu de cesse d’exprimer la volonté de l’État à encourager la production nationale. 

C’est en substance ce qu’a révélé ce samedi 25 janvier 2025 le ministre du Commerce intérieur, M. Tayeb Zitouni, lors de sa visite effectuée aujourd’hui à la troisième édition du Salon International des cosmétiques « Cosmétiqua », qui s’est achevé ce samedi. 

Une chute vertigineuse ! 

En effet, pour M. Zitouni, la politique prônée par le chef de l’État, n’a jamais été d’interdire l’importation, notamment dans le secteur des cosmétiques, mais plutôt, il s’agissait de « rationaliser » le recours à l’importation, tout en misant sur la promotion et la valorisation de la production nationale. « Grâce aux orientations stratégiques du président de la République, nous avons pu réduire la facture d’importation des cosmétiques, des parfums et des produits de soins corporels à 58 millions de dollars en 2024, contre plus de 500 millions de dollars auparavant », a révélé M. Zitouni. 

En outre, ce dernier, indiquera que la politique du Président de la République visant à soutenir la production nationale a contribué à porter la production locale de ces matières à des niveaux élevés, couvrant environ 70% de besoins nationaux, tout en atteignant une autosuffisance complète dans de nombreuses matières. « En plus de la réduction de la facture des importations, la politique menée, à su renforcer l’industrie locale des cosmétiques, des parfums et des soins corporels de réaliser un saut qualitatif », s’est félicité le ministre du Commerce intérieur. 

Par ailleurs et s’agissant de cette troisième édition du Salon International des Cosmétiques, il a vu la participation de 250 entreprises locales, ce qui est selon M. Zitouni un « indicateur positif » pour l’industrie locale des cosmétiques, des parfums et des soins corporels. Le ministre a estimé que la participation de plus de 17 pays à cette exposition est « une opportunité de développer des industries que nous ne maîtrisons pas encore, et ce en nouant des partenariats à l’horizon », notamment à la lumière de l’importation continue de certaines matières premières que l’Algérie souhaite produire localement à l’avenir », a-t-il conclu. 

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